mardi 17 décembre 2013

Région Franche-Comté - Budget primitif 2014

Extrait de l'article intitulé "Tonton flingueur et Tata flingueuse" - L'EST REPUBLICAIN du 13/12/2013 - Région Franche-Comté


"Afin d'y voir "plus clair", le Front national a choisi d'examiner ces données sur une séquence longue. Sophie Montel a mis en parallèle les budgets primitifs de 2011 et 2014 pour démontrer leur "absence de maîtrise" par l'exécutif. 
"En 2011, les crédits de fonctionnement étaient de 326,4 M€ et en 2014, ils seront de 349,1 M€, en progression alors que les investissements ont chuté dans le même temps de 166,4 M€ à 162 M€" a-t-elle assuré. La présidente du groupe FN y a vu une forme de "dérive" de la gestion. La hausse des charges de personnel en serait en partie responsable, a-t-elle poursuivi. En suspectant la majorité de « continuer à augmenter la masse des embauches» et parfois «
hors compétences".
En matière de politique de l'emploi, Sophie Montel s'en est également pris à l'exécutif qui se réjouissait. par sa participation à l'élaboration de la carte des formations, de pouvoir mieux mettre en adéquation les offres et les demandes. Comportement "schizophrénique", a-t-elle jugé en accusant le PS et ses alliés de défendre paradoxalement « un Europe qui contribue à détruire les emplois avec le recours aux travailleurs détachés »...

 

dimanche 24 novembre 2013

COMMUNIQUE DE PRESSE DE LA LISTE BESANCON BLEU MARINE

La liste Besançon Bleu Marine soutient
les gendarmes agressés à Planoise
 
Il y a quelques jours, dans le quartier de Planoise à Besançon, de nombreux jeunes, excités par la qualification de l’Algérie pour le Mondial de foot 2014, s’en sont violemment  pris à un véhicule de gendarmes, arrêté à un feu rouge. Le véhicule a été dégradé et une gendarme a été blessée.
 
La liste Besançon Bleu Marine condamne avec la plus grande fermeté ces dégradations volontaires et actes de violence gratuite commis à l’encontre des forces de l’ordre.

Cette nouvelle affaire, nous prouve, une fois de plus, que l’insécurité est un véritable problème à Besançon.

Le maire socialiste a beau clamer haut et fort que la « sécurité des Bisontines et Bisontins est une priorité », et nous faire part de sa « plus profonde indignation » après chaque braquage, chaque coup de feu ou chaque agression, il ne s’agit là que de mots, de déclarations de circonstance, les faits démontrant à nos concitoyens que la municipalité n’a rien fait, ne fait rien et ne fera rien pour rétablir la sécurité dans la capitale comtoise. 

Besançon, à l’image du reste de la France, voit l’insécurité empoisonner le quotidien de ses habitants. A Planoise, pompiers, policiers et gendarmes sont depuis des années, les cibles d’agressions de la part de voyous et petits caïds qui agissent en toute impunité, conscients plus que jamais que les lois de la République ne s’appliquent pas à eux. La Ministre de la Justice, C. TAUBIRA l’a dit, pour elle « la prison doit rester l’exception » !

En matière de sécurité, voilà bien le lourd et désastreux bilan des pouvoirs publics UMPS qui, par laxisme, incompétence ou tout simplement manque de volonté politique ont renoncé à faire respecter les lois de la République par tous et sur l’ensemble du territoire national.

La liste Besançon Bleu Marine note au passage mais sans réel étonnement, que l’agression des gendarmes à Planoise, n’a pas suscité la moindre réaction officielle de la part des  candidats déclarés de l’UMPS à la mairie de Besançon.

Il est vrai qu’entre les peines de probation de Mme TAUBIRA et la suppression de 15 000  postes dans la police nationale et la Gendarmerie sous la présidence de SARKOZY (2007-2012), les candidats PS et UMP aux municipales à Besançon, auront beaucoup de mal à convaincre en matière de sécurité !

 Philippe MOUGIN
Tête de liste « Besançon Bleu Marine »

lundi 14 octobre 2013

Communiqué de presse de Sophie MONTEL

Une alliance PSA/Dongfeng ?
Une catastrophe pour l’industrie automobile française et ses salariés !

 
Après avoir permis en 2012 au géant américain General Motors d’entrer à son capital à hauteur de 7%, il serait aujourd’hui question pour PSA de s’allier avec son partenaire chinois Dongfeng en le laissant devenir actionnaire à hauteur de 30%. Cette décision rendrait donc la famille Peugeot minoritaire. Si cette hypothèse devait devenir réalité, elle serait catastrophique pour les salariés du groupe français et notre filière automobile toute entière.
 
D’abord, parce que l’argument qui consiste à dire que l’arrivée de nouveaux capitaux serait bénéfique pour le groupe PSA, est un leurre. Une aubaine pour les actionnaires, certes mais une alliance avec le constructeur chinois ne ralentirait en rien la politique de dégraissage de ses effectifs, menée par la direction du constructeur au lion depuis le début des années 2000 en France. Pour preuve, en 2012 alors que GM entrait au capital de PSA, M. Varin annonçait la suppression de 11 000 postes dans l’hexagone d’ici mai 2014 !
 
Ensuite, parce qu’une éventuelle alliance avec les Chinois, aboutirait sans conteste à davantage de délocalisations, non seulement pour la production mais également pour le secteur recherche et développement (les technologies de demain). Pour rappel, pendant que des postes R&D sont supprimés à Sochaux, PSA en crée au Brésil… On apprenait aussi début septembre que PSA étudie sérieusement la possibilité de délocaliser au Maroc une partie de son secteur R&D, actuellement basé en France, afin de faire des économies !
 
L’Etat doit sérieusement envisager d’entrer majoritairement au capital (même temporairement) du groupe français afin de stopper l’hémorragie des délocalisations et des suppressions de postes.
 
Le Front National rappelle également que des solutions concrètes existent pour soutenir et relancer la filière automobile française avec notamment la mise en place de droits de douane ajustables qui  permettraient d’annuler les effets négatifs d’une concurrence libre et non faussée encouragée, elle, par l’Union européenne et le système UMPS.